Plus un système fournit des vélos de qualité et fonctionnels, plus les usagers auront tendance à le plébisciter. Les collectivités l’ont bien compris et traduisent cette nécessité au travers d’objectifs d’exploitation. Les taux de disponibilités sont généralement compris entre 90 à 99%.
Un véritable challenge opérationnel pour les opérateurs qui cherchent à optimiser leurs chaines de collecte, réparation et injection.
Qucit accompagne les opérateurs :
en amont par une collecte optimisée et ciblée des vélos cassés ou abandonnés
en aval par une injection intelligente des vélos réparés
Une stratégie de collecte des vélos cassés optimisée à travers une seule interface
Augmentez le taux d'utilisation des véhicules grâce à un service de qualité
Optimisez vos coûts d'exploitation pour une affectation plus efficace de vos ressources
Assurez un meilleur service en automatisant les opérations de collecte de vélos cassés
Recommandations automatiques des tâches de collecte et réparation pour les techniciens terrain sur les vélos :
collecte des vélos cassés
collecte des vélos abandonnés hors stations
Planification d'opérations de réparation en station par les managers ou l'équipe support client
Optimisation des tournées de collecte
Témoignage
« L’objectif en travaillant avec un outil comme Qucit Bike était de pouvoir augmenter la disponibilité de nos stations avec des vélos disponibles sur le réseau C.vélo. C’est chose faite aujourd’hui, grâce notamment à une amélioration de nos opérations de rééquilibrage sur le terrain. Qucit Bike est un outil qui a facilement été pris en main par les opérateurs sur le terrain, leur permettant d’associer leur connaissance du terrain avec les recommandations automatiques de l’application. L’outil étant très intuitif, la formation lors de la mise en place du logiciel est très rapide, ce qui permet une utilisation sur le terrain dans les jours qui suivent. »
Le vandalisme sur les vélos en libre-service
Vol, détérioration, négligence : les exploitants de vélos en libre-service sont souvent confrontés à la dégradation de leur système par les usagers. Dans un article du Cerema paru en 2019, le centre d’études et d’expertise estime que jusqu’à 10 % des vélos d’un service peuvent être volés ou détruits chaque année et incite les exploitants à intégrer ce coût dans leur budget d’exploitation. A cela, il faut ajouter le coût des réparations suite aux dégradations de matériel. Le vandalisme fait ainsi partie des facteurs exogènes pouvant limiter le succès voire faire échouer un système de vélos en libre-service.